- cross-posted to:
- feminisme@jlai.lu
- cross-posted to:
- feminisme@jlai.lu
Après il faut considérer le fait que de donner le droit d’avorter alors que l’hôpital est en difficulté, ce serait forcer des médecins assez chargés d’avoir encore plus de travail.
Le fait que la liberté a été constitutionalisé est une bonne étape, le droit aurait été une pression sur le médical. Cela peut se rediscuter un jour mais c’est quand même une avancée pour le droit à l’avortement.
Alors, on peut comprendre que dans le contexte des difficultés du système de santé, il faut pas trop le charger. mais bon, y a qu’à investir ce qu’il faut au lieu de tailler dans le lard du cochon là…
Puis c’est surtout une belle manoeuvre pour s’assurer du vote de la droite et +, parce que ça laisse la porte ouverte à pouvoir fortement le limiter en excluant ces prises en charge des financements de l’hôpital public, et donc de pouvoir fortement réduire les IVG
Puisque, elles sont libre de le faire, on leur interdira pas, mais si y a personne pour le faire, elles pourront pas vraiment en faire non plus, où alors à prendre de très gros risques… ( Ou payer très cher…)
Donc ça reste assez moche comme combine…
Le droit mais avec la volonté politique réelle nde le faire appliquer. Mais ils sont focus que pour les apparences et pas pour le concret ;-).
Ils disent des choses tout le temps, et tout le temps leurs actions reflètent leurs contraires