Lors d’une visite à Montréal pour rencontrer le premier ministre Justin Trudeau, le président français, Emmanuel Macron a estimé jeudi que ce serait « une faute » de la part du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou de refuser le cessez-le-feu proposé au Liban et que ce dernier prendrait la « responsabilité » d’une escalade régionale.
“La proposition qui a été faite est une proposition solide. Elle n’a pas été faite en l’air” a-t-il dit lors d’une conférence de presse conjointe avec le premier ministre canadien.
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“Il faut absolument parvenir à un cessez-le-feu immédiatement”, a renchéri le premier ministre canadien, parlant “d’images horribles”, tout en ajoutant que “cette violence faite aux enfants et aux femmes doit arrêter”.
Monsieur “Zionism isn’t a bad word” et “Israel has a right to defend itself” et qui leur envoie des véhicules blindés en pensant qu’ils seront utilisées à bon escient.
Les paroles de Trudeau sont vides, comme toujours. Tant que je ne verrai pas d’actions concrètes de sa part ou de son parti, tout ce qu’il dit ne pourra pas être pris au sérieux.
Ça fait longtemps qu’il aurait dû y avoir des sanctions contre Israël et des mandats d’arrestation contre les dirigeants militaires et politiques responsable de ce génocide.