• Tzig@sh.itjust.works
      link
      fedilink
      Français
      arrow-up
      5
      ·
      1 year ago

      Oui effectivement, je parlais de toutes les technologies pour faire des OGM, en contradiction avec l’édition de génome “à l’aveugle” qu’on fait avec des croisements.

      La dernière partie de ton commentaire à propos du cartel des fabricants est un problème qui existe déjà sans les cultures OGMs et j’espère que l’on pourra légiférer tout ça assez vite pour enlever cette dépendance qu’ont les éleveurs aux vendeurs de semence.

      • flyos@jlai.lu
        link
        fedilink
        Français
        arrow-up
        4
        ·
        1 year ago

        Oui, espérons qu’on puisse y apporter une solution économique. Je reste un peu sceptique quant au fait que ça soit vraiment possible : j’ai l’impression que produire des semences OGM/NGT (quelque soit la technologie) est une activité très capitalistique, qui requiert un coût à l’entrée sur le marché tel qu’un oligopole est difficilement évitable.

        Je suis peut-être trop pessimiste, mais le cours des choses me donne malheureusement actuellement raison…

        • Tzig@sh.itjust.works
          link
          fedilink
          Français
          arrow-up
          3
          ·
          1 year ago

          Une solution pourrait simplement être d’interdire les contrats qui empêche les agriculteurs de replanter les graines issues de la récolte précédente, ou une limite aux brevets comme on fait pour les médicaments génériques.

          • flyos@jlai.lu
            link
            fedilink
            Français
            arrow-up
            2
            ·
            1 year ago

            Ça réglerait une petite partie du problème, mais pas le fait que souvent les OGMs soient fait pour être stériles (pour des raisons environnementales aussi, pas que pour de basses raisons capitalistes). Ça sera toujours une grosse dépendance, et pas sûr de voir comment en sortir… Mais peut-être que des gens ont réfléchis à des solutions à ce problème.