• BestBouclettes@jlai.lu
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    8 months ago

    On peut absolument parler de dérive vers un régime autoritaire (restriction des libertés, apathie politique, perte de légitimé du gouvernement, séparation des pouvoirs en danger, répression, propagande, etc.) mais on est encore très très loin d’une dictature à proprement parler.
    On a encore une opposition politique, une presse relativement libre, des élections, les libertés d’expression, de rassemblement et de mouvement, etc. Tout ça est clairement en danger depuis quelques années mais c’est encore là.

    • Snoopy@jlai.lu
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      8 months ago

      C’est clair mais le danger est réél qu’on ne peut pas se permettre d’euphémiser au fur et à mesure que nos moyens d’actions sont de plus en plus réduit. Que ce soit par les arretés prefectoraux, la violence policière, les interdiction de manifester…

      D’autre part, la presse est “libre”, pas mal d’actionnaires ont fait des acquisitions de la presse. Et donne du poids à certain mouvement politique, une opinion. Le tout premier mandat de Macron a été massivement soutenu par la presse si je me rapelle bien d’une étude et ne dis pas de bétise.

      Oui, iels extrapolent, mais je crois bien qu’on devrait les écouter et admettre qu’il ya une part de vrai derrière leur mot même si ce n’est pas le terme exact. On est clairement pas en démocratie mais dans une oligarchie.

      Sinon le peuple aurait d’avantage de pouvoirs pour invoquer un référendum, montion de censure et bloquer des lois via un simple véto et le vote blanc aurait un réél impact politique et pourrait relancer les élections. La définitie de démocratie, c’est juste ça : Démo = peuple, cratie = pouvoir. Nous y sommes pas, nous avons la liberté de s’exprimer mais pas de pouvoir. Quid du fichage?

      J’espère voir un jour le vote quadratique.